Notre histoire
Si cette plateforme d’actions collectives conjointes est née de l’intuition de Me Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, MySMARTcab devait faire face à un double défi : d’abord son nom, imprononçable et ensuite, et surtout, la nécessité d’offrir un outil moderne de mise en relation entre des avocats et des clients pouvant être intéressés par une action collective conjointe.
C’est le premier objectif de MyLeo : rendre efficient l’accès à la justice en proposant un rapport qualité-prix permettant une réelle démocratisation de l'accès au droit.
Origines
Tout commence avec AZF, cette usine chimique appartenant au groupe TOTAL qui a explosé à Toulouse le 21 septembre 2001 laissant plus d’une trentaine de morts, des milliers de blessés et des dégâts considérables.
Face à l’industriel, les parties-civiles sont éparpillées et les avocats ont dû mal à coordonner leurs arguments. Le financement de cette longue procédure (2001-2021) pose cruellement la question de l’accès à la justice et de l’égalité des armes.
Pourtant une solution existe : elle a été popularisée par des films comme « Erin Brockovich » et porte le nom de « class action » ou action collective. Mais la transposition de cette technique juridique permettant de sanctionner les « fabricants de doute » et autres profiteurs de la « faute lucrative » se heurte à des farouches oppositions en France.
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Année 2014 - La Loi Hamon crée l'action de groupe ou la vraie-fausse "class action"
Annoncée comme une grande avancée, la loi Hamon est une loi de compromis. Elle a été pensée pour donner l’impression d’une transposition en droit français de la « class action » mais il n’en est rien.
Plusieurs filtres ont été mis en place de telle sorte que l’action de groupe ne fonctionne pas ou rende les procédures encore plus longues. Les quelques exemples connus à ce jour n’ont pas porté leur fruit. Les citoyens et les consommateurs ont le sentiment d'avoir été floués.
Année 2016 - 2020 - Création et essor de MySMARTcab
Pour répondre à une demande des justiciables, Me Christophe Lèguevaques se lance dans l’aventure de créer une plateforme d’actions collectives pensée par un avocat pour améliorer la relation avocats/clients, tout en proposant des services de qualité à des coûts mutualisés. C’est MySMARTcab.
Au cours des années 2016-2020, MySMARTcab s’illustre dans des dossiers à forte valeur ajoutée tout en recherchant la défense de l’intérêt général. Plusieurs partenariats sont noués avec des avocats, notamment pour les dossiers Linky et 5G.
MySMARTcab défriche le secteur des actions collectives avec la volonté de défendre les « petits » (consommateurs ou citoyens) contre les « gros » (entreprises ou Etat). Dans le combat de David contre Goliath, il faut savoir faire preuve d’audace, d’innovation et de souplesse. Et ça marche !
Dans des dossiers comme Levothyrox, Chlordécone, et d’autres, MySMARTcab commence à faire entendre la voix des « sans grades », de ceux qui n’auraient pas osé demander justice car ils avaient peur de s’opposer à des géants qui ont l’habitude des tribunaux.
Mais, si la réussite est au rendez-vous, MySMARTcab se heurte à des limites technologiques qui ralentissent sa croissance. Afin d’assurer l’indépendance de la plateforme, Me Christophe Lèguevaques a toujours refusé de faire entrer des investisseurs au capital. Pour autant, afin d’assurer le développement technologique nécessaire, le temps est venu de trouver des partenaires avec qui construire une nouvelle plateforme en perpétuelle évolution.
Année 2020 - 2021 - Création et maturation de MyLeo
MyLeo se veut le prolongement de MySMARTcab et garde dans son ADN les valeurs et les principes qui sont à l’origine du projet. Ces valeurs et principes sont modernisés dans le Manifeste de MyLeo.
De même, l’apport de nouveaux talents et d’une équipe rajeunie permet de repenser le projet et de l’adapter.
Première grande innovation : la plateforme n’est pas plus l’émanation du cabinet d’avocats de Me Christophe Lèguevaques.
La plateforme prend son autonomie. Elle devient une société par actions simplifiée (SAS) qui n’exerce pas l’activité d’avocat. Elle revendique le statut de LEGALTECH en mettant en relation les avocats et les clients.
La plateforme change de nom et devient MyLeo.
Pour le moment, MyLeo se concentre sur toutes les formes d'actions collectives conjointes mais elle pourrait devenir, à termes, un acteur majeur du secteur des legaltech, tout en conservant son indépendance et son autonomie financière.
Deuxième grande innovation : MyLeo propose une nouvelle plateforme tournée vers les clients afin de leur permettre de suivre leur dossier depuis leur salon.
Pour cela, MyLeo a développé un environnement robuste où des dispositifs renforcés de protection anti-cybercriminalité ont été mis en place (et seront rénovés au fur et à mesure du temps). Outre la sécurité informatique de la plateforme, les concepteurs ont pris l’option de la transparence.
Malgré la complexité des procédures, tout est mis en œuvre pour comprendre les tenants et les aboutissants d’une procédure. MyLeo se propose de mettre en relation les personnes intéressées en relation avec les avocats sélectionnés par ses soins et susceptibles d’apporter leur expérience et leur compétence à la bonne fin de la procédure envisagée.
La présence de Me Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, permet de conserver le cap. MyLeo reste au service des consommateurs et des citoyens.
Année 2021 / ... L'aventure continue
MyLeo apparait sur la scène en présentant deux actions :
* La première consiste à faire le lien avec son histoire. En effet, il s’agit de proposer de rechercher la responsabilité de l’ANSM dans le dossier Levothyrox.
* La seconde préfigure les actions futures portées par MyLeo. Avec Dieselgate, MyLeo espère rassembler des milliers de demandeurs pour devenir une force avec qui négocier. Autant, VOLKSWAGEN peut traiter par le mépris quelques centaines de demandes, autant l’industriel aura intérêt à négocier à l’amiable si vous êtes plusieurs milliers à vous mobiliser, comme cela s’est vu aux USA, en Allemagne ou en Italie.